Si vous souhaitez construire votre maison autour de Rennes, vous comptez souscrire un crédit immobilier.

Or, lorsque vous empruntez en vue de faire l’acquisition d’un bien immobilier, les probabilités que l’organisme prêteur vous demande de contracter une assurance couvrant les risques liés au décès, à l'incapacité, à l'invalidité et à la perte totale d'autonomie (PTIA) sont particulièrement nombreuses.

De plus, dans l’éventualité où vous ne seriez plus capable de régler les mensualités de remboursement de votre crédit, c’est alors l’assurance emprunteur qui prendrait le relais, d’où la nécessité de bénéficier du meilleur taux possible !

Comment bénéficier du meilleur taux possible pour votre assurance emprunteur ?

Le taux de l’assurance de prêt varie selon le profil de l’emprunteur, le montant et la durée du crédit immobilier, et bien évidemment la nature de l’organisme choisi et les tarifs qu’il pratique. Voici nos trois règles d’or pour obtenir le meilleur taux qu’il soit !

1. Rappelez vos droits à l’organisme prêteur

Il faut être clair au sujet de vos droits en tant qu’emprunteur dès le départ ! La loi Lagarde de 2010 vous offre l’opportunité de choisir librement l’assurance de votre prêt immobilier (qui peut être concédée par un organisme autre que votre banque, par exemple).

La loi Hamon de 2014 vous donne quant à elle le droit de résilier votre contrat d’assurance dans les douze premiers mois suivant la signature de l’offre de crédit. Enfin, depuis l’entrée en vigueur de l’amendement Bourquin en janvier 2018, vous avez la possibilité de résilier votre assurance chaque année (tout en bénéficiant d’un niveau de garanties équivalent à l’offre de départ). 

2. Entrez dans le vif du sujet, allez à l’essentiel !

Mieux vaut aborder le sujet de l’assurance emprunteur le plus tôt possible quand vous serez face à votre banquier ! En effet, il est important de connaître sa position le plus tôt possible. Est-il ouvert à la souscription d’une assurance emprunteur ailleurs que chez sa banque ? Est-il totalement réfractaire à cette idée ? 

Si votre banquier s’entête, vous avez toutes les raisons de le faire également, d’autant plus que souscrire une assurance groupe pourrait ne pas vous être profitable. Autre conseil : toujours comparer le TAEA (taux effectif annuel de l’assurance) et éviter les offres basées sur une cotisation fixe pendant toute la durée du prêt. 

3. Comparez toujours les différentes offres

Il faut toujours penser à comparer les différentes offres du marché. En effet, l’assurance de prêt représente 30 % du coût du crédit immobilier, ce qui est colossal sur le long terme. Et quand on sait que ladite assurance peut varier du simple au triple, on peut très vite avoir des regrets quand il est trop tard… 

Aussi, il ne faut pas hésiter une seule seconde à faire jouer la concurrence, surtout que les banques prennent 70 % à 80 % de marge sur les assurances emprunteurs.

La crise du Covid-19 nous a contraint au confinement, mais pas seulement. Elle nous a également privé de relations sociales. Les acteurs immobiliers ne sont pas des miraculés : afin de maintenir les liens personnels et professionnels, ces derniers, plutôt que de les supprimer, ont préféré les digitaliser.

Autant dire que cette évolution inattendue est importante, d’autant plus que beau-coup d’éléments pouvaient nous faire douter d’une conversion aussi rapide au numérique. Mais qu’est-ce que le passage au numérique risque de changer pour les acheteurs qui souhaitent la construction d’une maison d’architecte à Rennes ? 

Immobilier : où en était le digital avant le confinement ? 

Bien que les sites d’annonces de biens à vendre et à louer se soient multipliés, et que les socié-tés impliquées dans les transactions et les activités de gestion locative et de gestion de copro-priété aient à présent recours au numérique pour moderniser leurs solutions, on ne peut pas dire avec conviction que le secteur immobilier ait réellement emprunté le virage du numérique.

Il faut admettre que la vitesse de conversion des professionnels de l’immobilier, qu’ils soient agents, promoteurs, constructeurs de maisons individuelles ou administrateurs de biens, est très loin d’avoir battu des records.

Cela est probablement dû à certaines convictions, certi-tudes, ou en tout cas un scepticisme assumé, qui se résument à cette réflexion : « Les corps de métier du secteur immobilier sont des métiers de l’humain, aussi le recours au digital a-t-il ses limites ».

Le numérique : un outil de densification de la relation avec le client 

Tandis qu’auparavant, la profession estimait que des échanges dématérialisés ne pourraient ja-mais remplacer la relation physique qui est de rigueur depuis toujours, l’urgence liée à la pandé-mie de coronavirus a conduit les acteurs professionnels de l’immobilier à balayer les objections susmentionnées une bonne fois pour toute. De plus, le numérique est tout à fait à même de créer une relation de proximité avec les clients.

En effet, grâce aux messages électroniques, les agences immobilières, par exemple, ne se sont jamais autant occupées de leurs clients anciens, actuels et futurs.

En outre, à présent, on assiste même à une mutation accélérée des textes réglementaires. Der-nier exemple en date : les notaires qui peuvent désormais aller au bout d’une vente, à distance, et ce jusqu’à l’authentification des actes, tout en garantissant le plus haut niveau de sécurité ju-ridique.

Pour terminer, force est de constater que le digital est l’outil de la situation : en ces temps difficiles, il permet véritablement de servir efficacement le client tout en le considérant, dans tous les sens du terme.

Malgré des craintes justifiées concernant l’avenir, les Français ont quand même envie d’investir dans l’immobilier. Suite au confinement, l’espace extérieur est devenu un critère important.

Suite au confinement, cela est devenu une certitude : les Français ne peuvent plus imaginer la construction de leur maison neuve à Rennes si cette dernière ne possède pas de jardin. En effet, les critères des ménages ont désormais évolué lorsqu’ils recherchent un bien immobilier. Après avoir été confinés pendant deux mois en raison de la pandémie de coronavirus, ils ont soit le ferme intention d’investir dans une maison avec jardin, soit le désir de s’éloigner des zones urbaines.

11 % des Français veulent acquérir un logement avec jardin

Les 12 et 13 avril derniers, Opinionway a réalisé une étude pour le compte d’Artémis Courtage. L’étude montre que 11 % des personnes sondées ont déjà réfléchi à l’acquisition d’un logement avec jardin ; et elles sont 8 % à vouloir investir dans un logement avec terrasse. Quoi qu’il en soit, force est de constater que les Français ont besoin de renouer avec la nature. Cela est d’autant plus vrai que 7 % des interviewés songent à s’éloigner des grandes villes voire à s’installer en zone rurale. 

L’étude montre que les effets post-confinement sont davantage palpables chez les 25-34 ans. Dans cette catégorie d’âge, par exemple, 24 % des sondés ont pensé à l’achat d’un logement avec jardin. Sans surprise, les Parisiens — qui vivent souvent dans des appartements bruyants et exigus —, ont eu bien du mal à supporter le confinement. Ils sont désormais 15 % à vouloir acquérir un logement avec jardin, 12 % à vouloir un logement plus grand et 13 % à vouloir déménager dans une ville plus calme et moins urbaine. 

Les pages de maisons à vendre sont beaucoup plus consultées qu’avant 

Globalement, si l’on s’intéresse aux sites web d’agences immobilières, on constate que les pages d’annonces de maisons disponibles à la vente et leur taux de consultation ont grimpé depuis le confinement. Par ailleurs, en plus de la hausse des recherches de maisons avec jardin, on remarque que la part des recherches pour les appartements dans Paris a chuté de 20 %. Au contraire, le taux de consultation des annonces immobilières pour devenir propriétaire d'une maison en Bretagne est en forte hausse avec un gain de 17 % après le confinement.

À noter que l’étude sollicitée par Artémis Courtage montre également que les Français sont inquiets quant à l’avenir. Effectivement, 81 % d’entre eux craignent que les banques deviennent plus exigeantes pour l’octroi d’un prêt immobilier, et 77 % d’entre eux anticipent des délais d’obtention de prêt allongés. Pour finir, 74 % des ménages pensent 

Pendant la construction de votre maison neuve en Bretagne, il est fort probable que votre terrain ait été malmené. Les allées et venues des maçons, les passages des engins de chantier et les éventuelles intempéries ont eu raison de ce dernier. Il est temps de lui redonner la verdure qu’il mérite, vous ne pensez pas ? Voici quelques conseils pour aménager votre jardin et l’embellir pour l’arrivée des beaux jours.

Aménager votre jardin et le fleurir : les 3 règles à respecter

Vous avez la chance d’avoir un jardin, et vous souhaitez l’embellir avant l’arrivée de l’été ? Avant de vous pencher sur les plantes et fleurs que vous y introduirez, intéressez-vous à la topologie de votre terrain, à l’ensoleillement dont il dispose et à l’ensemble des facteurs qui assureront son développement naturel.

1. Bien connaître son jardin et ses spécificités 

Aménager son jardin, cela revient à bien le connaître. La compréhension du climat dans votre région est un premier facteur qu’il est nécessaire de prendre en compte si vous voulez réussir à faire pousser de jolies plantes et arbustes sur votre terrain. En effet, les espèces qui s’épanouissent dans un climat océanique et celles qui se développent dans un jardin de climat méditerranéen, continental voire montagnard ne sont pas les mêmes. 

Tandis que certaines plantes apprécient la chaleur ou l’humidité, d’autres ne supportent pas le vent ou le gel. Voilà un paramètre que vous devez indispensablement maîtriser si vous voulez que votre maison ait un beau jardin bien fleuri.

2. Trouver le compromis entre plantes persistantes et plantes esthétiques

En matière de jardinage, il faut se rendre à l’évidence : certaines plantes mettent beaucoup de temps à sortir de terre. Afin de constituer ce qui sera la base de votre espace vert, n’hésitez pas à choisir des plantes persistantes, à savoir des plantes qui non seulement poussent vite, mais qui en plus de cela ne demandent quasiment aucun entretien. Par exemple, le lierre et le bambou offrent une très belle base pour, par la suite, imaginer le jardin dont vous avez toujours rêvé ! 

Une fois la base de votre jardin fin prête, intéressez-vous aux plantes esthétiques qui ajouteront la touche de charme attendue à votre espace vert. Du rosier, des magnolias, des bougainvilliers, rendront votre jardin coloré. Vous pouvez aussi planter dans votre jardin des fleurs odorantes pour créer un coin parfumé : daphnés, orangers, mimosas sont idéaux pour cela. 

3. Joindre l’utile à l’agréable

Pour finir, n’hésitez pas à recouvrir les bordures de votre maison et vos clôtures de plantes grimpantes qui cacheront tout vis-à-vis (lierre, chèvrefeuille, etc.). Vous pourriez aussi planter des plantes aromatiques qui vous permettront d’ajouter de la saveur à vos plats (thym, basilique, menthe, etc.) ainsi que d’autres qui vous aideront à éloigner votre maison des moustiques (géraniums, verveine citronnée, etc.).

Dernière chose : en accordant un peu de place aux plantes mellifères dans votre jardin (lavande, origan, etc.), vous donnerez un petit peu d’air à la planète. En effet, elles contribuent à la sauvegarde des abeilles et des papillons.

Après la construction de votre maison autour de Rennes, vous vous demandez quel budget mensuel vous devrez consacrer au paiement des factures d’énergie ? Sachez qu’en respectant quelques règles de base simples, vous pouvez facilement diminuer votre consommation énergétique, et donc vos dépenses.

Diminuer sa consommation d’énergie en quelques gestes simples

Tandis qu’en 2020 les aides pour la rénovation énergétique ont été renouvelées et se sont même élargies, il suffit en tout état de cause de réaliser quelques gestes quotidiens simples pour réduire la consommation énergétique de son logement. Ainsi, c’est le comportement des habitants qui est déterminant si l’on souhaite faire baisser le montant de sa facture d’énergie mensuelle.

Éteindre la lumière lorsque l’on sort d’une pièce, prendre une douche au lieu d’un bain, brancher les prises avant d’aller dormir, voilà des gestes simples et accessibles qui font la différence à la fin du mois ! Mais cela peut ne pas suffire à réduire drastiquement votre consommation d’énergie à la maison. Pour passer à l’étape supérieure, vous pouvez aussi choisir vos appareils électriques  et luminaires selon leur étiquetage énergétique (préférez des appareils électroménagers ou multimédias étiquetés A ou B, qui sont les moins énergivores).

Faire le choix des ampoules LED et ne pas surchauffer son logement

L’installation d’ampoules LED à domicile permet de diviser la consommation électrique de votre logement par six par rapport aux ampoules à incandescence. En outre, il est important de ne pas surchauffer votre maison ou appartement : la température ambiante idéale se situe entre 16 degrés et 21 degrés selon les saisons. Tout degré au-delà de ces normes est inutile et consomme de l’énergie. Ainsi, en baissant la température d’un degré vous pouvez économiser jusqu’à 7 % d’énergie. Pour une température optimale à la maison, servez-vous d’un thermostat.

Pour finir, exploitez la chaleur du soleil pour moins solliciter vos équipements de chauffage. Une bonne orientation solaire vous permet de bénéficier d’un meilleur éclairage mais aussi d’un chauffage 100 % naturel. Selon les professionnels, une orientation optimale peut faire descendre votre consommation d’énergie de 20 % en moyenne.

Enfin de retour !

Toute l'équipe est ravie de vous retrouver !

Toute l'équipe se mobilise pour la création de votre futur cadre de vie !

Une (très) grande baie pour l'espace salle à manger / salon & tout un espace véranda pour la cuisine sont des solutions idéales pour capter le moindre rayon de soleil ! 

Oublier la pluie du jour au bénéfice d'une photo de chantier ensoleillée !